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Elections Législatives 2024
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Législatives: Jadot affirme qu'"il ne peut pas y avoir d'hésitation" face au Rassemblement national

Résultats élections Législatives 2024
À quatre jours du premier tour des législatives, Aurélien Pradié, le député du Lot et candidat à sa succession, a annoncé qu'il quittait le parti des Républicains, dont il est l'ex-numéro 2. La question du Premier ministre continue de faire débat à gauche.

L'ESSENTIEL

  • Interviewé ce mercredi soir sur BFMTV, François Hollande, candidat aux législatives en Corrèze, a estimé que "seul le rassemblement de la gauche peut être un rempart" à l'extrême droite. Lire l'article
  • Selon Jean-Luc Mélenchon, La France insoumise demandera à ses électeurs de ne pas faire la "bêtise" de voter RN au second tour des législatives. Lire l'article
  • Le député sortant Aurélien Pradié a annoncé qu'il quittait Les Républicains, un parti qu'il décrit comme "mort" qui "n'est plus capable de parler aux Français". Lire l'article

Au second tour, LFI demandera à ses électeurs de ne pas voter RN

La France insoumise (LFI) demandera à ses électeurs, à l'issue du premier tour des élections législatives, de ne pas accorder leur vote à des candidats du RN au second tour, là où les candidats de gauche ne seront plus présents, a déclaré Jean-Luc Mélenchon.

"Jamais aucun électeur Insoumis, j'en suis certain, ne donnera sa voix au Rassemblement national. Et nous leur dirons que personne n'a à faire cette bêtise, quel que soit son motif", a-t-il affirmé sur LCI. Des consignes de vote seront selon lui données dimanche soir après le premier tour.

Les partisans d'Emmanuel Macron n'ont pas indiqué pour leur part officiellement quelle pourrait être leur consigne de vote entre les deux tours. Mais lors d'une réunion mardi, le camp présidentiel s'est orienté vers le mot d'ordre "ni RN, ni LFI".

Ce direct est terminé. Merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com

Marine Le Pen juge que le titre de "chef des armées" du président de la République est "honorifique"

Dans une interview au Télégramme, Marine Le Pen estime que le titre de "chef des armées" octroyé à Emmanuel Macron en sa qualité de président de la République est "honorifique" et que "c'est le Premier ministre qui tient les cordons de la Bourse".

"Jordan (Bardella) n'a pas l'intention de lui chercher querelle, mais il a posé des lignes rouges", ajoute-t-elle. Elle prend notamment l'exemple du cas de l'Ukraine, où "le président ne pourra pas envoyer de troupes".

L'article 15 de la Constitution stipule que le président de la République "est le chef des armées" et qu'il "préside les conseils et les comités supérieurs de la défense nationale".

Entre La France insoumise et le Rassemblement national, Jean-Pierre Raffarin "votera blanc"

Interrogé sur ce qu'il ferait au second tour des élections législatives en cas de duel entre LFI et le RN, l'ancien Premier ministre défend sur BFMTV l'option du "ni/ni".

"Je ne participerai pas à l'accession au pouvoir ni du Rassemblement national, ni de LFI. Je voterai blanc", affirme-t-il.

Jean-Pierre Raffarin affirme avoir "changé de position depuis quelques années, depuis que M. Mélenchon a donné sa marque, son empreinte à La France insoumise". "Je pense qu'ils sont entrés dans la catégorie de l'extrêmisme", ajoute-t-il.

"Ça ne peut pas être le ni/ni": Yannick Jadot affirme qu'"il ne peut pas y avoir d'hésitation" face à l'extrême droite

Alors que plusieurs anciennes figures de gauche ont annoncé qu'elles ne voteraient ni pour le Rassemblement national ni pour le Nouveau Front populaire si le cas se présentait au second tour des législatives, le sénateur écologiste Yannick Jadot a affirmé refuser sur BFMTV que "la France tombe à l'extrême droite".

"Il ne peut pas y avoir d'hésitation, ça ne peut pas être le ni/ni, a-t-il lancé. Ils auront tous une responsabilité devant l'histoire s'ils ne choisissent pas de voter contre l'extrême droite."

Mélenchon annonce que LFI demandera à ses électeurs de ne pas faire la "bêtise" de voter RN au second tour

La France insoumise demandera dimanche soir à ses électeurs, à l'issue du premier tour des élections législatives, de ne pas accorder leur vote à des candidats du Rassemblement national au second tour, là où les candidats de gauche ne seront plus présents, a déclaré Jean-Luc Mélenchon.

"Jamais aucun électeur insoumis, j'en suis certain, ne donnera sa voix au Rassemblement national. Et nous leur dirons que personne n'a à faire cette bêtise, quel que soit son motif", a-t-il déclaré sur LCI, en précisant que des consignes de vote seraient données dimanche soir après le premier tour de scrutin.

"À vous de rendre la pareille": Olivier Faure interpelle la majorité sur le désistement en cas de triangulaire face au RN

Signataire avec Marine Tondelier d'une tribune appelant à la mise en place d'un accord de désistement entre les deux tours des législatives contre le Rassemblement national en cas de triangulaire, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure s’adresse sur TF1 à ”ceux qui sont au pouvoir et qui hésitent”.

“Je leur dis ‘à vous maintenant de rendre la pareille’, de faire en sorte qu'il y ait effectivement demain la possibilité de battre tous les candidats de l'extrême droite, ce qui n'est pas encore le cas aujourd'hui puisque je les vois hésiter", déclare-t-il.

"Soyez des républicains, soyez du bon côté de l'histoire", exhorte Olivier Faure.

"Laissons le président tranquille": Bruno Le Maire affirme qu'Emmanuel Macron "n'est pas l'enjeu de cette élection"

Le ministre de l'Économie s'est exprimé sur BFMTV sur la place du chef de l'État dans la campagne des législatives. Critiqué par les oppositions pour ses nombreuses prises de paroles, il s'est montré discret depuis lundi.

"Laissons le président de la République tranquille, car il n'est pas l'enjeu de cette élection (...) Le vrai sujet de cette campagne, c'est l'avenir de la France", a clamé Bruno Le Maire.

Bruno Le Maire ne veut pas qu'"en sept jours soit détruit le travail de sept années"

"Il en va de l'avenir de la France." Invité sur BFMTV, le ministre de l'Économie a déclaré ne pas vouloir qu'"en sept jours soit détruit le travail de sept années", mentionnant son bilan au sein du gouvernement.

"Les points communs des programmes des deux extrêmes c'est travailler moins pour gagner plus, c'est renoncer au travail et à la force du travail, c'est détruire la nation de production que nous étions en train de recréer avec la majorité", a assuré Bruno Le Maire sur notre antenne.

François Hollande juge qu'Emmanuel Macron a eu "tort" de ne pas l'avoir "consulté" avant de dissoudre l'Assemblée

L'ancien président a estimé sur BFMTV que le chef de l'État avait eu "tort" de ne pas l'avoir consulté avant la dissolution de l'Assemblée nationale.

"Il ne m'a en aucune façon consulté. Il a eu tort, pas seulement moi-même mais de consulter largement avant la dissolution", a-t-il déclaré.

Il a ajouté: "Il n'est pas davantage prêt à entendre pourtant des réflexions qui pourraient lui être utiles."

"Il n'est déjà plus dans le jeu": François Hollande assure qu'il a été "convenu" que Jean-Luc Mélenchon ne sera pas Premier ministre

Après plusieurs échanges tendus depuis le début de la campagne des législatives entre les deux hommes, François Hollande a déclaré sur BFMTV que Jean-Luc Mélenchon "n'est plus déjà dans le jeu".

"Aujourd'hui dans la gauche, il a été convenu qu'il ne pouvait plus être celui qui devait diriger", a-t-il lancé sur notre antenne.

"Je ne fais pas d'équivalence": Hollande estime que Cazeneuve et Valls "se trompent" en refusant d'appeler à voter pour le Nouveau Front populaire contre le RN

Alors que d'anciens ministres de son gouvernement comme Bernard Cazeneuve et Manuel Valls ont refusé d'appeler à voter pour le Nouveau Front populaire en cas de duel face au Rassemblement national, François Hollande a déclaré qu'"ils se tromp(ai)ent".

"Je ne fais pas d'équivalence entre un candidat du RN, parti xénophobe, qui fait de la préférence nationale son axe principal, et une personnalité qui n'a pas les mêmes positions que moi, a pu me choquer", a-t-il lancé sur BFMTV.

"Ce n'est pas le retour de la Nupes": François Hollande déplore une "présentation fallacieuse" du Nouveau Front populaire

Invité sur BFMTV, François Hollande a assuré que le Nouveau Front populaire n'était pas une "réplique de la Nupes", dénonçant une "présentation fallacieuse".

D'après lui, "ce n'est pas le retour de la Nupes" car il pourrait y avoir plus de députés socialistes. Ce n'est pas non plus "le même programme", ni "le même leader", mentionnant Jean-Luc Mélenchon.

En cas de victoire de son camp aux législatives, l'ancien président espère que le Premier ministre sera "une personnalité de consensus".

François Hollande estime que "seul le rassemblement de la gauche peut être un rempart" au RN

Candidat aux élections législatives en Corrèze, l'ancien président a assuré sur notre antenne que "seul le rassemblement de la gauche peut être un rempart" à l'extrême droite.

"Qui peut empêcher l'extrême droite d'arriver aux responsabilités du pays?", a-t-il demandé.

Éric Ciotti pense que des élus LR qui lui sont opposés le "rejoindront" avec le RN après les législatives

Au cas où le Rassemblement national et ses alliés des Républicains n'obtiendraient pas une majorité absolue le 7 juillet, Eric Ciotti ne désespère pas de voir des élus LR qui ne l'ont pas suivi dans son alliance avec le RN finir par lui emboîter le pas.

"Je pense qu'il y en a qui nous rejoindront, qui ne se tromperont pas de combat", déclare le président des Républicains sur CNews.

"Je n'imagine pas certains de mes amis rejoindre une coalition qui comprendrait des communistes, des socialistes et les amis de Mme Sandrine Rousseau", ajoute Éric Ciotti. "Je crois qu'ils se discréditeraient définitivement."

"L'instant est grave": François Hollande justifie sa candidature aux élections législatives

L'ancien président de la République a assumé sur BFMTV son choix de se présenter aux législatives avec le Nouveau Front populaire.

"Si je me suis présenté dans le cadre d'un rassemblement de la gauche (...) c'est bien parce que l'instant est grave", a-t-il lancé sur notre antenne.

Il a précisé: "Je n'avais pas besoin d'un mandat."

"Une stratégie de la peur": Jordan Bardella "ne croit pas" à d'éventuelles émeutes en cas de victoire du RN aux législatives

Le président du Rassemblement national a assuré ne pas craindre d'émeutes ou des mouvements de contestation violents si son parti remportait les élections législatives.

"C’est l’argument utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur. Mais je ne le crois pas", a déclaré Jordan Bardella dans une interview accordée à Valeurs actuelles.

Il a ajouté: "Alors bien sûr, il y aura de la contestation, comme à chaque fois, il y aura le défilé des professionnels de la manifestation, comme à chaque fois, mais ces mouvements resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance."

Amélie Oudéa-Castéra estime que le résultat des législatives peut "incontestablement" avoir une incidence sur "le bon déroulement" des JO

À un mois du début des Jeux olympiques de Paris, la ministre des Sports a déclaré sur BFMTV que le résultat des élections législatives pourrait "incontestablement" avoir une incidence sur "le bon déroulement" de l'événement, pointant du doigt le Rassemblement national et la France insoumise.

"Je sépare le moment de la préparation et le moment du déroulement, ainsi que l'image, le message de notre pays au reste du monde", a-t-elle lancé sur notre antenne.

Selon la ministre, "la préparation est quasi-bouclée". "Pour l'instant, on est parfaitement dans nos temps de passage et tous nos engagements sont tenus."

Elle a également déploré: "Je considère que tant le RN que la France insoumise ont fait sur ce sujet la preuve de leur inconséquence, incompétence et irresponsabilité."

Valérie Pécresse appelle les Français à "repousser" le RN et le Nouveau Front populaire au premier tour

Interrogée dans les colonnes du Point, Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France, a alerté sur les "conséquences désastreuses" d'une victoire du Rassemblement national ou du Nouveau Front populaire aux législatives.

"Il n'y a rien de patriotique ou de populaire à mener son pays à la faillite. J'appelle les Français à repousser ce front antinational et ce front antipopulaire!", y a-t-elle notamment déclaré.

Son entourage a précisé à BFMTV qu'il s'agissait d'une position avant le premier tour pour "donner de la force aux candidats de la droite républicaine".

À quel âge partirez-vous à la retraite selon le camp qui remportera les législatives?

Plus d'un an après une séquence sociale retentissante, la réforme des retraites revient dans le débat entre les trois principales formations politiques en vue des élections législatives.

RN, NFP, Ensemble... Découvrez dans notre article à quel âge vous partirez à la retraite selon le camp qui remportera les législatives.

"Beaucoup d'inquiétude": comment les législatives sont perçues en Allemagne?

Les législatives anticipées françaises sont très scrutées en Allemagne et suscitent "beaucoup d'inquiétude", explique notre correspondant à Berlin Pascal Thibault.

Binationaux: Gabriel Attal répond à Jordan Bardella

En campagne en Indre-et-Loire, Gabriel Attal a répondu à Jordan Bardella qui souhaite interdire certains postes aux Français binationaux.

"Je ne diviserai jamais notre pays en tranche", a-t-il déclaré.

Berlin assure que la coopération franco-allemande se poursuivra quel que soit le résultat des élections

La coopération entre les gouvernements français et allemand se poursuivra quelle que soit l'issue des élections législatives en France, a assuré mercredi le porte-parole du gouvernement allemand.

"Naturellement, nous travaillons étroitement et en confiance avec la France, notre partenaire le plus important et le plus proche en Europe", a dit Steffen Hebestreit lors d'un point presse régulier à Berlin.

Le candidat LFI Maxime Da Silva répond à François Bayrou qui refuse de choisir entre LFI et le RN

Après que François Bayrou a déclaré ne pas vouloir "choisir entre le pire et le pire" dans le cas d'un duel entre le RN et La France insoumise, le candidat LFI Maxime Da Silva a dénoncé sur BFMTV "des propos dans la droite de ligne de l'inconscience des macronistes qui ont été les marchepieds de l'extrême droite depuis 2022".

"La plus haute instance administrative du pays, le conseil d'état, a tranché et dit que la rance insoumise n'avait rien d'extrémiste", a-t-il ajouté, alors que la patron du Modem affirmait rejeter les "extrêmes" de chaque "bord".

Julien Aubert, vice-président de LR, choisira "n'importe quel bulletin de vote" qui ne soit pas LFI

Le vice-président des Républicains affirme sur BFMTV qu'il choisira "en tant qu'électeur n'importe quel bulletin de vote qui empêcherait de faire élire quelqu'un de la France inoumise".

Crise chez LR: une nouvelle audience en référé à 16 heures à la demande des frondeurs

Une audience en référé a lieu aujourd'hui à 16 heures à la demande du camp des frondeurs LR opposés à Éric Ciotti, a appris BFMTV d'une source proche du dossier, confirmant une information de France info.

Les cadres du parti gaulliste demandent à un juge civil la nomination d'un administrateur ad hoc qui puisse convoquer ensuite un bureau politique dans le but d'exclure le président contesté.

Interdire aux binationaux les postes "sensibles": cette mesure du RN est-elle applicable?

Le Rassemblement national souhaite "empêcher" les personnes avec une double nationalité d'occuper "des emplois extrêmement sensibles" dont la liste sera définie "par décret". Cette mesure est-elle réellement applicable ?

Retrouvez nos explications sur cette mesure controversée.

En cas de duel RN-LFI, François Bayrou "ne veut pas choisir entre le pire et le pire"

"Je ne veux pas choisir entre le pire et le pire", a déclaré François Bayrou, le président du Modem, au sujet de la consigne de vote à donner dans le cas d'un duel entre le RN et La France insoumise aux législatives.

"Qui refuse l'extrême d'un bord doit refuser l'extrême de l'autre", a-t-il justifié après une réunion avec les ténors de la majorité.

Le président du Cese estime que la dissolution a plongé la France dans une crise "sans précédent"

La décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale "plonge la France dans une crise politique et démocratique sans précédent", estime le président du Cese Thierry Beaudet dans un entretien à La Tribune paru ce mercredi.

Troisième chambre de la République avec l'Assemblée nationale et le Sénat, le Conseil économique, social et environnemental a un rôle consultatif et regroupe des représentants de la société civile (associations, syndicats, organisations patronales...).

Le président du Cese estime que son institution est "possiblement" menacée de disparition en cas d'accession du RN au pouvoir, citant une déclaration d'un député de 2023 selon laquelle "le Cese est un organisme inutile et corporatiste dont nous souhaitons la disparition".

Marine Tondelier publie sa lettre aux partis du camp présidentiel

Marine Tondelier publie sa "lettre aux partis politiques du centre et de la droite" évoquée ce matin sur RMC-BFMTV. Alors que les candidats écologistes aux élections législatives anticipées se désisteront au second tour au profit d'un "candidat républicain" en cas de possibilité de victoire du Rassemblement national, Marine Tondelier "avoue ne pas comprendre" l'"incapacité" des partis du camp présidentiel à "tenir des propos aussi clairs".

"De votre capacité à tenir ce principe de base de la vie républicaine dépendra l'avenir de notre pays, le quotidien de nos concitoyens et notre image dans le monde: basculerons-nous ou pas vers un gouvernement d'extrême droite?", écrit la cheffe des Écologistes.

250.000 Français de l'étranger ont déjà voté en ligne

En 24 heures, 250.000 personnes ont voté en ligne pour les élections législatives, annonce la Direction des Français à l'étranger et de l'administration consulaire sur X.

Les Français résidant à l'étranger peuvent voter par vote électronique du 25 juin (12 heures, heure de Paris) au 27 juin (12 heures, heure de Paris).

Prisca Thevenot juge "prématurée" la question de la position du camp présidentiel au second tour

La porte-parole du gouvernement, Prisca Thevenot, appelle à "ne pas sauter trop rapidement le premier tour", jugeant la question de consignes de vote et de désistements du camp présidentiel au second tour "prématurée".

"Nous devons attendre les résultats du premier tour" et "nous pourrons regarder circonscription par circonscription", affirme-t-elle, tout en ne disant "pas qu'il y aura du cas par cas".

Oudéa-Castéra juge que les législatives sont "un enjeu pour l'image de notre pays" à l'approche des JO

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, estime que les élections législatives représentent "bien entendu" un "enjeu pour l'image de notre pays" à l'approche des Jeux olympiques. "En ce sens, nos Jeux doivent agir comme forme de corde de rappel pour les Français", estime-t-elle lors d'un point presse après le Conseil des ministres.

"Quelle est l'image que nous voulons projeter dans le monde?", demande-t-elle. "Est-ce que c'est un message d'ouverture ou de repli?"

Éric Zemmour se dit "interdit" d'aller au marché de Tulle "à cause de la violence d'extrême gauche"

En déplacement pour soutenir le candidat de Reconquête à Tulle, en Corrèze, Éric Zemmour se dit "interdit" d'aller sur la place du marché "à cause de la violence d'extrême gauche".

"Je n'irai pas sur le marché, parce que la police, qui me protège, m'a interdit d'aller sur le marché à cause des antifas, à cause de la violence d'extrême gauche", affirme-t-il au micro de plusieurs médias, depuis la circonscription où l'ex-président François Hollande se présente aux législatives avec l'alliance de gauche, le Nouveau Front populaire.

"C'est ça que charrie avec lui monsieur Hollande", ajoute le président de Reconquête.

Quel ministre de l'Économie pour le RN? Marine Le Pen et Jordan Bardella cherchent encore leur "expert"

En tête des sondages pour les élections législatives, le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella est à la recherche d'un futur locataire de Bercy. Mais les noms évoqués ferment la porte au ministère de l'Économie, comme nous vous l'expliquons dans cet article.

La ministre Agnès Pannier-Runacher déclare que des candidats de la majorité ont "été bousculés physiquement" lors de la campagne

La ministre déléguée auprès du ministre de l'Agriculture et la Souveraineté alimentaire, Agnès Pannier-Runacher, assure au micro de BFMTV que des candidats de la majorité présidentielle ont été "pris à parti violemment", "bousculés physiquement" lors de leurs déplacements sur le terrain.

Elle donne pour exemple le cas de Shannon Seban, candidate Renaissance dans le Val-de-Marne, qui a annoncé lundi avoir porté plainte pour injure raciste. Cette dernière affirme avoir été traitée à plusieurs reprises de "sale sioniste" en marge d'une fête populaire dimanche à Ivry-sur-Seine.

Hidalgo assure qu'elle ne prendra "aucune photo" avec Bardella s'il devient Premier ministre lors des JO

La maire de Paris, Anne Hidalgo, a déclaré dans un entretien accordé à Ouest-France qu'elle ne prendra "aucune photo" au cours des JO avec Jordan Bardella s'il devient Premier ministre.

"À quelle occasion? Je pourrais me retrouver dans des enceintes où il sera là, mais je ne prendrai aucune photo avec lui", a asséné l'élue socialiste, soutien du Nouveau Front populaire.

Anne Hidalgo a également déploré qu'avec l'annonce de la dissolution Emmanuel Macron "gâche la fête".

"Pourquoi abîmer ce beau moment avec cette élection décidée au pied levé, sans consulter personne ?", s'est-elle interrogée.

Éric Ciotti dénonce des "négociations faites en catimini" entre des candidats LR et la majorité présidentielle

Le président des Républicains, Éric Ciotti, affirme sur BFMTV Nice Côte d'Azur que "trente candidats" de son parti ont négocié "en catimini" avec la majorité présidentielle.

"Moi, je ne veux pas d'alliance avec M. Macron qui a mis le pays dans cet état", a-t-il déclaré ajoutant que "certains de (ses) anciens amis" ont "plongé de façon un peu honteuse" dans cette alliance.

Concernant son alliance avec le RN, Éric Ciotti, a déclaré qu'il avait "prôné une alliance droit dans les yeux devant les Français".

En cas de triangulaire, Édouard Philippe assure qu'il "s'exprimera" "de façon extrêmement claire au soir du premier tour"

Interrogé sur France Inter, le président du parti Horizons, Édouard Philippe, affirme qu'il aura "l'occasion de s'exprimer de manière extrêmement claire" en cas d'une triangulaire le "soir" du premier tour des élections législatives.

Le maire du Havre a également déclaré que les "Français ne sont pas prisonniers" d'une "tenaille" avec d'un côté La France insoumise et le Rassemblement national de l'autre.

"Il y a une alternative dans cet espace central", a-t-il souligné.

Laurent Nuñez affirme se "préparer" aux "risques de troubles à l'ordre public" les 30 juin et 7 juillet

Comme Gérald Darmanin hier, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez a déclaré sur France Inter ce matin que "les services de renseignement prévoient" de "possibles" "manifestations de voie publique qui peuvent dégénérer" les 30 juin et 7 juillet.

"Le ministre a rappelé qu'il y a toujours des risques de troubles à l'ordre public, notamment les soirs d'élection mais pas que, on l'a vécu par le passé", a-t-il ajouté.

Laurent Nuñez a annoncé qu'une réunion à ce sujet, supervisée par le ministre de l'Intérieur en présence notamment du directeur général de la gendarmerie et le directeur général de la police nationale, se tiendra dans "quelques heures" pour s'y "préparer".

Marine Tondelier déclare que le Premier ministre du Front populaire sera choisi "en consensus"

Évoquant la question du Premier ministre en cas de victoire du Front populaire aux législatives anticipées, et notamment l'hypothèse Jean-Luc Mélenchon, la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, assure sur BFMTV que ce poste sera décidé "en consensus".

Elle déclare également que le Premier ministre de la gauche devra faire preuve de "sincérité", "d'apaisement" et répéte qu'il devra faire "consensus".

"Barrage républicain": Marine Tondelier veut "écrire aux chefs de partis" de la majorité présidentielle

La secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier annonce sur BFMTV vouloir écrire aujourd'hui aux différents chefs de partis de la majorité présidentielle pour qu'ils lui "expliquent yeux dans les yeux" "ce qu'ils sont en train de faire".

"Si ces partis s'entêtent, leurs électeurs vont faire barrage eux-mêmes", a-t-elle ajouté.

Elle a par ailleurs annoncé que les candidats écologistes "se désisteront" s'ils arrivent en "troisième position".

Édouard Philippe appelle à "accepter le résultat de l'élection"

"On doit accepter lorsqu'on est démocrate le résultat de l'élection", déclare Édouard Philippe, président du parti Horizons sur France inter soulignant ressentir "très clairement" une "inquiétude" et "une colère" dans une société française "tendue".

Marine Le Pen assure que Jordan Bardella a "déjà son gouvernement en tête"

"Je peux vous confirmer que (Jordan Bardella) a déjà son gouvernement en tête", déclare la figure du Rassemblement national Marine Le Pen sur France 2 refusant de donner des noms et assurant qu'elle ne compte pas en faire partie.

"Il y a beaucoup de gens qui nous contactent", a-t-elle ajouté.

Interdiction du port du voile dans l'espace public: Marine Le Pen parle d'un "micro-sujet" d'un "problème beaucoup plus large"

La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, déclare sur France 2 que l'interdiction du port du voile dans l'espace public est un "micro-sujet" d'un "problème beaucoup plus large" qui est "le problème de la lutte contre les idéologies islamistes".

Elle assure que son parti a rédigé une loi, prévue pour 2027 en cas de victoire, qui "va permettre de lutter contre les idéologies islamistes, dont [elle] pense que le voile est un des éléments".

"Ça ne veut pas dire que toutes les femmes qui portent le voile sont islamistes, mais il est poussé par des mouvements islamistes", a ajouté Marine Le Pen.

Marine Le Pen justifie l'exonération d'impôts pour les moins de 30 ans

Marine Le Pen assure sur France 2 vouloir mettre en place l'exonération d'impôts pour les moins de 30 ans afin que les "jeunes restent en France, pour qu'ils montent leurs entreprises en France".

"Beaucoup d'enfants sont en train de partir de notre pays, ils vont faire leur vie ailleurs", déplore-la cheffe de file du RN assurant qu'il faut "mettre en place des mesures significatives" pour garder "cette richesse intellectuelle".

En Occitanie, les trains et cars régionaux seront gratuits pour aller voter

Le 30 juin et le 7 juillet prochains, premier et second tours des élections législatives anticipées, les trains et cars de la région Occitanie seront gratuits, d'après L'Opinion. À condition de se rendre à son bureau de vote.

"Pour nous, responsables politiques, il s'agit de convaincre de l'impérieuse nécessité de ne pas rester sans voix, sans choix", a affirmé dans un communiqué la présidente PS de la région Carole Delga. [...] "La mobilité ne doit pas être un frein à la citoyenneté".

Pour prendre le car, il faudra montrer une carte d'électeur ou un justificatif d'inscription sur les listes électorales. Pour monter à bord d'un TER, il faudra préalablement remplir un formulaire en ligne.

"LR est mort": Aurélien Pradié annonce quitter les Républicains

Dans une interview accordée à La Dépêche, Aurélien Pradié, le député du Lot et candidat à sa succession, annonce qu'il quitte le parti des Républicains, dont il est l'ex-numéro 2. Une décision qui intervient après l'alliance entre Éric Ciotti, président contesté du parti, et le Rassemblement national.

"Pour la première fois de ma vie, j’ai déposé ma candidature aux législatives sans rattachement à un parti politique existant", explique-t-il soulignant relancer son micro-parti "Du Courage", "créé lors des élections régionales".

"LR est dans une situation inextricable. Le gaullisme n’est pas mort, il est plus vivant que jamais mais LR est mort. [...] Le parti auquel j’appartenais n’est plus capable de parler aux Français", déclare Aurélien Pradié.

Pour François Ruffin, Jean-Luc Mélenchon est un "obstacle à la victoire du Front populaire"

Le député sortant François Ruffin a estimé sur TF1 que le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon était un "obstacle à la victoire du Front Populaire".

"C'est pas un appui ici Jean-Luc Mélenchon, c'est plutôt quelque chose qui repousse les électeurs", a indiqué François Ruffin depuis sa circonscription de la Somme où il se présente aux élections législatives pour être réélu député.

"C’est plus du melon là, c’est une pastèque! Attention: à force de gonfler, ça va exploser", a vertement réagi l'ancien député LFI Adrien Quatennens sur X.

Retraites: Laure Lavalette assure que le Rassemblement national "n'a pas varié d'un pouce ni sur les carrières longues, ni sur le reste"

Alors que Jordan Bardella a expliqué durant le débat face à Gabriel Attal et Manuel Bompard qu'une personne commençant à travailler à 24 ans pourrait partir à taux plein à 66 ans avec la réforme souhaitée par son parti, la députée RN sortante du Var affirme sur BFMTV qu'il n'y a "rien de nouveau sous le soleil".

Le Rassemblement national "n'a pas varié d'un pouce ni sur les carrières longues ni sur le reste", déclare Laure Lavalette.

"Il est mieux qu'au niveau": Mélenchon fait l'éloge de Bompard après le "débat entre futurs Premiers ministres"

Manuel Bompard a-t-il fait une bonne prestation face à Gabriel Attal et Jordan Bardella? Pour Jean-Luc Mélenchon, sans surprise, la réponse est un grand oui et le débat est la preuve, selon lui, qu'il aurait toute sa place à Matignon.

"Ce soir, Manuel Bompard a démontré une force, un niveau de connaissance et une sensibilité humaine que les autres n'ont pas égalé", a-t-il estimé sur X. "Ce débat entre futurs premiers ministres montre qu'il est mieux qu'au niveau".

Retraites: pour Jordan Bardella, un actif ayant commencé à travailler à 24 ans partira à taux plein à 66 ans

"Ma priorité, ce sera les carrières longues", a concédé Jordan Bardella. Lors du débat organisé par TF1 ce hier soir, le président du Rassemblement national a reconnu que le "déficit public record" et le "déficit budgétaire sans précédent" vont "l'amener à faire des choix" en matière de retraites.

Ainsi, il affirme que si son parti remporte une majorité aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet, une personne qui a commencé à travailler à 24 ans, partira à la retraite "avec 42 annuités de cotisation, c'est-à-dire 66 ans".

Pouvoir d'achat, retraites, immigration... ce qu'il faut retenir du débat entre Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard

À cinq jours du premier tour des élections législatives, Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard ont débattu hier pendant environ 1h40. Pouvoir d'achat, énergie, immigration, retraites… Les trois personnalités ont abordé plusieurs grands sujets au cœur de cette campagne électorale.

Plus que quatre jours avant le premier tour

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil! Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l'actualité politique de ce mercredi 26 juin. Deux semaines après l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale, la campagne des législatives anticipées convoquées par Emmanuel Macron est dans sa dernière ligne droite.

BFMTV