Élections législatives
Elections Législatives 2024
en direct

Législatives: Bardella reconnaît "qu'il peut arriver qu'il y ait des brebis galeuses" parmi les candidats RN

Résultats élections Législatives 2024
Après 218 désistements recensés face au RN, il reste trois jours avant la clôture de la campagne officielle avant le second tour des élections législatives qui verra plus de 400 face-à-face et un peu moins de 100 triangulaires. Emmanuel Macron, lors du probable dernier Conseil des ministres dans la composition actuelle du gouvernement, a indiqué qu'en cas de coalition il "ne gouvernera pas avec LFI."

L'ESSENTIEL

  • Lors de l'ultime Conseil des ministres avant le second tour, Emmanuel Macron a assuré qu'il "ne gouvernera pas avec LFI" en cas de coalition. Lire l'article
  • Répondant à Marine Le Pen qui soupçonne un "coup d'État administratif" d'Emmanuel Macron, le gouvernement l'accuse de "manipuler l'information". Lire l'article
  • Plus de 200 candidats se sont désistés pour faire barrage au Rassemblement national et empêcher l'extrême droite d'obtenir une majorité absolue. Lire l'article
  • BFMTV organise une soirée spéciale, dans l'entre deux tours des élections législatives: "Face à BFM: un choix historique" avec Marine Tondelier, Gabriel Attal et Jordan Bardella. Lire l'article

Fin du live

Ce direct consacré au second tour des législatives est maintenant terminé.

Cette journée a été marquée par la volonté d'Éric Ciotti d'exclure Xavier Bertrand du parti Les Républicains, le vote des Français de l'étranger en ligne et par un nouveau sondage qui indique que le RN pourrait ne pas obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale.

Vous pouvez désormais suivre notre direct consacré à notre soirée spéciale "Face à BFM: un choix historique" avec Gabriel Attal, Marine Tondelier et Jordan Bardella.

Marine Le Pen annonce qu'elle va poursuivre en justice les auteurs du morceau de rap "No Pasarán"

Marine Le Pen a annoncé ce mercredi au 20h de TF1 qu'elle va poursuivre en justice les auteurs du morceau de rap anti extrême droite No Pasarán.

"J’espere que le parquet va le faire sans nous attendre, quand on appelle au meurtre de Jordan Bardella, qu'on tient des propos antisémites et incitatifs à la violence à l'égard de femmes politiques, qui fait la promotion de tous ce que les Français ne veulent plus, il faut siffler la fin de la récréation. Le moindre des respects est de se soumettre, y compris quand on est artiste, à la loi", a-t-elle poursuivi.

Face aux critiques sur certains candidats RN, Bardella affirme que "dans toute organisation humaine il y a parfois des brebis galeuses"

Face aux critiques sur certains candidats RN, Jordan Bardella, invité du 20h de France 2, affirme que "dans toute organisation humaine il y a parfois des brebis galeuses".

"Nous avons des fonctionnaires de police, des commerçants, des étudiants, des retraités… Il peut y avoir deux ou trois profils qui peuvent tenir des propos qui sont contraires à ce que je défends, à la ligne politique de mon mouvement, je n’ai pas la main qui tremble quand je dois sanctionner", a-t-il affirmé.

Avant de marteler: "Ce qu’il faut juger c’est la réaction de la direction. Quand j’ai une brebis galeuse je l’exclus, à LFI elle est investie. On voit que des gens chez eux sont fichés S et portent atteinte à sécurité nationale. Et des gens qui flirtent avec l’antisémitisme."

Un candidat RN présente ses excuses après s'être déclaré "pas facho" car il n'a "pas écrasé" un "curé de couleur"

Jean-Yves Le Boulanger, candidat RN dans la cinquième circonscription des Côtes-d'Armor (Lannion-Paimpol), qui se défendait d'être "facho" car il n'avait "pas écrasé" un "curé de couleur", a présenté ses "sincères excuses".

"Je tiens à présenter mes sincères excuses à la suite des propos que j'ai tenus (sur la radio Bretagne 5, NDLR): ils sont extrêmement maladroits et déplacés", a indiqué le candidat dans un communiqué de presse transmis par la secrétaire départementale du Rassemblement national.

"La direction du RN m'a fait part d'une condamnation sans réserve et m'a informé d'une convocation devant la commission nationale des conflits du mouvement. Je me plierai à sa décision et regrette ma déclaration", est-il précisé.

Selon un nouveau sondage, le RN et ses alliés n'obtiendraient par la majorité absolue

À maintenant quatre jour du second tour des élections législatives, un nouveau sondage Toluna Harris Interactive pour Challenges, M6 et RTL dévoile les intentions de vote pour le scrutin et la possible composition de l'Assemblée nationale.

Le Rassemblement national et ses alliés pourraient obtenir entre 190 et 220 sièges, loin de la majorité absolue fixée à 289 sièges. Le Nouveau Front populaire formerait lui un groupe de 159 à 183 députés. La coalition Ensemble constituerait le troisième groupe de l’Assemblée nationale avec 110 à 135 sièges. Les Républicains se contenteraient de 30 à 50 députés.

L'enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet 2024 après la fin du dépôt des candidatures au second tour en préfecture. Elle prend donc en compte les désistements de candidats. Il s'agit d'échantillon de 3.383 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont 3.008 personnes inscrites sur les listes électorales françaises.

Les coulisses de la soirée spéciale "Face à BFM: un choix historique" ce soir à partir de 20h30

Ce soir, BFMTV organise une soirée spéciale, dans l'entre-deux-tours des élections législatives: "Face à BFM: un choix historique", en public.

Se succéderont à l'antenne à partir de 20h30 et pour une heure chacun, Gabriel Attal, Marine Tondelier et Jordan Bardella. L'émission sera présentée par Maxime Switek avec Apolline de Malherbe, Nicolas Doze et Benjamin Duhamel.

Guyane: Davy Rimane, soutenu par le NFP, seul candidat dans la 2e circonscription

Le député sortant de Guyane Davy Rimane, soutenu par le Nouveau Front populaire, est seul en lice au second tour des législatives dans la deuxième circonscription après le désistement de son adversaire et le rejet d'un recours d'un troisième candidat.

Sophie Charles, maire de Saint-Laurent-du-Maroni (sans étiquette) a retiré sa candidature malgré sa qualification au second tour avec environ 25% des voix. Davy Rimane avait obtenu environ 60% mais avec un taux de participation trop faible pour valider son élection au premier tour.

Jean-Philippe Dolor, arrivé troisième avec 8,05%, avait déposé un recours devant le tribunal administratif de Cayenne pour pouvoir concourir au second tour mais ce recours a été rejeté au motif que M. Dolor n'avait pas atteint la barre des 12,5% d'inscrits pour pouvoir se maintenir.

Marine Tondelier, la "vraie Marine d'Hénin-Beaumont" qui mène la campagne pour les Écologistes

Marine Tondelier s'est imposée comme l'une des figures de la gauche lors de la campagne pour les élections législatives, appelant sans relâche à un front républicain contre le Rassemblement national. Cheffe des Écologistes, élue d'opposition dans une mairie tenue par le RN... Nous vous racontons son parcours dans cet article.

Qui est candidat dans votre circonscription au second tour? La liste complète

Retour aux urnes ce dimanche 7 juin pour le second tour des élections législatives. Ensemble, Nouveau Front populaire, RN et alliés... Après les désistements, qui sont les candidats et les partis représentés près de chez vous? Découvrez la liste officielle avec notre moteur de recherche.

La justice saisie après les propos racistes d'un candidat RN de l'Yonne

Le procureur de la République a été saisi, mercredi, après des propos racistes du député RN sortant de l'Yonne Daniel Grenon qui a estimé que les Maghrébins "n'ont pas leur place dans les hauts lieux".

"Des Maghrébins sont arrivés au pouvoir en 2016, ces gens-là n'ont pas leur place dans les hauts lieux", a déclaré Daniel Grenon, en tête au premier tour des législatives, avec 40,4 % des voix, dans la 2e circonscription de l'Yonne.

Ces propos, prononcés lors d'un débat organisé par le quotidien local L'Yonne républicaine, "sont clairement racistes", a réagi le premier secrétaire de la fédération du Parti socialiste de l'Yonne Mani Cambefort, qui a décidé de saisir la justice.

Dans un communiqué, Daniel Grenon a assuré que cette citation était "erronée" et ne reflétait "en rien (sa) pensée ni (ses) paroles", mais L'Yonne républicaine, qui dispose de plusieurs enregistrements du débat, maintient la citation.

Le Parti communiste appelle à voter "pour le candidat le mieux placé en cas de duel gauche/gauche"

Dans un communiqué, le Parti communiste appelle à voter "pour le candidat le mieux placé en cas de duel gauche/gauche". C'est notamment le cas des candidats insoumis dissidents Alexis Corbière et Danielle Simonnet, qui n'ont pas été investis par LFI et se retrouvent face à des candidats "officiels" du Nouveau Front populaire.

Le PCF appelle par ailleurs "à la raison" et estime que "des duels entre candidats de gauche qui portent le même projet ne devraient pas avoir leur place" dans un contexte où le Rassemblement national pourrait remporter les législatives.

Le PCF appelle donc à voter pour Alexis Corbière, Danielle Simonnet, Gabriel Amard (candidat investi par LFI qui fait face à un candidat divers gauche) et Soumya Bourouaha (députée sortante investie par le PCF qui fait face à un dissident soutenu par LFI).

"Une rupture avec le diktat de Washington et Bruxelles": Moscou évoque la percée du RN aux législatives

Le ministère russe des Affaires étrangères cite sur X une déclaration de son porte-parole Andrei Nastasin, qui apparaît soutenir le Rassemblement national pour les législatives: "le peuple français recherche une politique étrangère souveraine qui sert ses intérêts nationaux et qui rompt avec le diktat de Washington et de Bruxelles".

"Les responsables français ne pourront ignorer ces profonds changements d’attitude de la grande majorité des citoyens", ajoute le ministère, accompagnant ces propos d'une photo de Marine Le Pen à l'issue du premier tour remporté par le RN dimanche dernier.

Plus d'informations ici.

Gabriel Attal affirme aussi qu'il "n’y aura jamais d’alliance avec La France insoumise"

Gabriel Attal se montre sur la même ligne qu'Emmanuel Macron. "Pour éviter une victoire d'un candidat du Rassemblement national, pour éviter de donner une majorité absolue au Rassemblement national, se désister ne veut pas dire se rallier", assure le Premier ministre sur X, alors que des dizaines de candidats du camp présidentiel se sont désistés au second tour pour faire barrage à l'extrême droite.

"Il n’y a pas et il n’y aura jamais d’alliance avec La France insoumise", déclare-t-il.

La veille, le coordinateur de LFI, Manuel Bompard, avait répondu à sa proposition "d'Assemblée plurielle", affirmant que "les Insoumis ne gouverneront que pour appliquer leur programme, rien que le programme".

Val d'Oise: un candidat RN se retire pour faire barrage au Nouveau Front populaire

Le candidat LR-RN Sébastien Meurant, arrivé troisième dans la 4e circonscription du Val d'Oise, s'est désisté pour le second tour. Il appelle à ne pas laisser une députée La France insoumise gagner cette circonscription.

"Après avoir réfléchi et consulté, j'ai pris la décision de me désister face au danger grave que représente la possible élection d'une candidate LFI dans notre circonscription", écrit-il, sur son compte X (anciennement Twitter).

"Contre les extrêmes quels qu'ils soient": Gérald Darmanin affirme qu'il ne votera jamais ni pour le RN ni pour LFI

L'entourage de Gérald Darmanin affirme à BFMTV qu'il ne votera jamais ni pour le RN ni pour LFI. Le ministre, qui affrontera au second tour un candidat RN, après le désistement d'une candidate membre du parti anti-spéciste REV, associé à LFI, "réaffirme sa position de combat contre les extrêmes quels qu'ils soient".

"Je suis très opposé aux consignes de vote: les Français n'ont pas besoin qu'on leur dise pour qui il faut voter", affirme-t-il également dans une vidéo.

Le ministre de l'Intérieur appelle toutefois les électeurs de sa cirsonscription du Nord à voter pour lui et son suppléant, "qui (sont) des hommes de droite à la fibre sociale prononcée, qui (croient) en l'autorité".

Jordan Bardella reconnaît "qu'il peut arriver qu'il y ait des brebis galeuses" parmi les candidats RN

Au micro de France Bleu, Jordan Bardella reconnaît "qu'il peut arriver qu'il y ait des brebis galeuses" parmi les candidats RN.

"Moi, je n'ai pas la main qui tremble", affirme-t-il, assurant avoir "souhaité retirer l'investiture" à ces candidats.

"En 48 heures, quand on nous annonce une dissolution, on a 577 candidats à investir donc évidemment qu'on regarde tout ça avec un très grand intérêt et dans 99,99% des cas il n'y a absolument eu aucune difficulté", ajoute le président du parti d'extrême droite.

Ce mardi notamment, une candidate du Calvados s'est retirée alors qu'une photo d'elle portant une casquette nazie a été publiée sur les réseaux sociaux.

Des économistes alertent sur les dangers d'un gouvernement RN

Dans une tribune, publiée dans Les Échos, mardi 2 juillet, Philippe Aghion, professeur au Collège de France et proche d'Emmanuel Macron, Jean Pisani-Ferry, économiste également proche du président, et Alexandra Roulet, lauréate du prix du meilleur jeune économiste en 2024, alertent sur les périls économiques d'un gouvernement d'extrême droite.

S'ils estiment toujours que le modèle défendu par la gauche est "aventureux et dommageable", "le deuxième tour impose des choix tranchés", soulignent-ils, mettant en avant une balance de risques en faveur du NFP.

Lire l'article en intégralité sur BFMTV.com

"On ne gouvernera pas avec LFI", promet Macron en Conseil des ministres

Comme l'a appris BFMTV ce mercredi, lors de l'ultime Conseil des ministres tenu avant le second tour des élections législatives, Emmanuel Macron a tenu à mettre les choses au clair avant le scrutin.

"On ne gouvernera pas avec LFI, désistement ne vaut pas coalition", a-t-il dit, selon un participant.

Lisez l'article en intégralité sur BFMTV.com

Six nouvelles nominations annoncées en Conseil des ministres

Au terme de l'ultime compte-rendu de Conseil des ministres tenu ce mercredi, BFMTV a appris que six nouvelles nominations avaient été annoncées ce jour.

Parmi elles, Philippe Tireloque, inspecteur général des services actifs de la police nationale, est nommé directeur des services actifs de la police nationale, directeur national de la sécurité publique. Il était déjà à la Direction nationale de la sécurité publique (en tant qu'adjoint puis chef intérim). Sa nomination est donc officialisée.

Parmi les autres nominations figurent Agnès Diallo comme directrice générale de l’Imprimerie nationale, Didier Trutt comme président du conseil d’administration de l’Imprimerie nationale, Jérôme Harnois comme préfet de la Charente, Christine Allais comme conseillère d’État en service extraordinaire et le général de corps d’armée Benoît Paris comme conseiller d’État en service extraordinaire.

Plus d'informations ici.

"Du bon sens": Thevenot revient sur une possible coalition

Lors de son point presse, la porte-parole du gouvernement a estimé qu'un projet de coalition était "du bon sens" alors que le Rassemblement national peut prendre le pouvoir dimanche lors du second tour des législatives.

"Nous devons nous rappeler que le moment est potentiellement que le RN est aux portes du pouvoir dans notre pays. Les Français sont en responsabilité et n’ont pas besoin de consignes pour se prononcer dimanche", assure-t-elle.

"Les 'si' et 'peut-être' à ce moment-la du calendrier sont prématurés", ajoute-t-elle, appelant à temporiser les prédictions.

Les Français de l’étranger votent en ligne à partir de midi

À partir de midi ce mercredi 3 juillet, des centaines de milliers de Français de l’étranger peuvent voter en ligne via une plateforme qui doit rester ouverte jusqu'à demain 4 juillet à 18 heures.

La fenêtre de tir est particulièrement courte. Organisation de dernière minute oblige, la plateforme ne sera ainsi disponible que pendant 30 heures, contre 48 heures au premier tour.

Un délai bien plus court que lors des élections législatives de 2022. Au premier comme au second tour, les Français de l'étranger avaient alors cinq jours pour se connecter à la plateforme de vote par internet.

Lire l'article en intégralité sur BFMTV

Accusation de "coup d'État administratif": pour Prisca Thevenot, Marine Le Pen "manipule l'information"

Au cours de l'ultime compte-rendu du Conseil des ministres avant le second tour des élections législatives, la porte-parole du gouvernement Prisca Thevenot a répondu à Marine Le Pen qui soupçonnait un "coup d'État administratif" d'Emmanuel Macron. La cheffe de file du RN évoquait des "rumeurs" avec de nouvelles nominations à la tête de la police ou de la gendarmerie.

"On savait que Marine Le Pen mentait, on sait maintenant qu'elle manipule l’info", répond Prisca Thevenot, assurant qu'il y a eu "moins d'une dizaine" de nominations, comme "à chaque Conseil des ministres".

"Elle a une très mauvaise compréhension de ce qu'il se passe en Conseil des ministres, mais on ne le découvre pas (...). Nous l’appelons à garder son sang-froid et à lire la Constitution", attaque-t-elle encore.

Plus d'informations ici.

Simonnet dénonce une agression "de l'extrême droite" contre ses militants à Paris

Dans un communiqué publié ce mercredi 3 juillet, la candidate de gauche Danielle Simmonet dénonce une agression "de l'extrême droite" contre ses militants.

Selon la députée sortante, l'agression a eu lieu la veille, lors d'un collage d'affiches sur des panneaux officiels dans le 20e arrondissement de Paris, là où elle se présente.

"Après avoir tenté de les empêcher de coller, un individu, bientôt rejoint par plusieurs autres, les a agressés avec un pistolet à poivre et des gaz lacrymogènes. Ils ont été frappés et insultés de 'salopards d'antisémites' (...) Les agresseurs ont pris la fuite suite au passage à proximité d'un véhicule de police municipale" détaille la candidate.

Lire l'article en intégralité sur BFMTV Île-de-France

"Demandé" mais pas 'imposé": Dominique Faure revient sur son désistement

Invitée ce mercredi sur BFMTV au lendemain de son retrait dans la 10e circonscription de Haute-Garonne, la ministre déléguée chargée des Collectivités et de la Ruralité a assuré ne pas avoir été contrainte de quitter la course à l'Assemblée nationale.

"Ils (Attal et Macron, NDLR) m’ont demandé mais sans me l’imposer, en me laissant libre de mon choix", assure-t-elle.

"Je n’ai reçu aucune pression, j’ai eu des échanges, des discussions, j’ai montré à quel point de trou de souris était effectivement gagnable, a quel point la lutte contre ce RN au gouvernement était peut-être plus efficace en me maintenant qu’en me retirant. Ce n’est pas une science exacte, c’est par des échanges qu’on co-construit une décision", ajoute-t-elle.

Philippe annonce qu'il votera pour le candidat communiste au Havre

L'ancien Premier ministre a annoncé qu'il voterait dimanche prochain pour le candidat PCF-Nouveau Front populaire Jean-Paul Lecoq, dans la 8e circonscription de Seine-Maritime.

Le député sortant et ancien adversaire d'Édouard Philippe aux municipales de 2020 (42,82% des voix) affrontera au second tour une candidate RN, Isabelle Le Coz (31,32%).

"Je préfère un élu que je connais, avec qui je travaille dans l'intérêt du Havre, même avec des différences et qui me paraît relever des exigences démocratiques que je partage, que le RN", a expliqué l'édile, patron du parti Horizons.

Lire l'article en intégralité sur BFM Normandie

Pour la CPME, la France "a perdu un trimestre de croissance" à cause de la dissolution

Le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, François Asselin, a considéré que la France avait perdu un trimestre de croissance en raison des incertitudes générées par la dissolution.

"On a perdu déjà un trimestre de croissance", a-t-il estimé sur BFM Business.

Ce dernier voit même presque comme "une chance" dans ce contexte que "cette période politique arrive à un moment où il va y avoir bientôt les vacances d'été".

Lire l'article en intégralité sur BFMTV.com

Hollande fait la leçon à Macron sur la dissolution

Invité sur Franceinfo ce mercredi matin, l'ancien président de la République est revenu sur la décision de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, précisant qu'il n'avait "pas de relation" avec ce dernier.

"Ce que je pense c‘est qu’à un moment, on ne peut pas décider seul, on doit s’entourer de conseils. Ce qui m’a paru très troublant c’est qu’un entourage ait pu presque mettre la main ou en tout cas prenne tutelle", sur cette décision, pointe-t-il.

"Un président normal est celui qui consulte, qui écoute, qui comprend et qui connaît le peuple français", ajoute-t-il.

Marine Le Pen qualifie de "grotesque" l'image donnée par la classe politique

Dans un message posté sur X en milieu de matinée, Marine Le Pen a qualifié de "grotesque" l'image donnée par la classe politique avant le second tour des élections législatives.

"Édouard Philippe appelle à voter communiste. Jean-Luc Mélenchon appelle à voter Gérald Darmanin. Et Christian Estrosi annonce qu’à la tête du groupe majoritaire, à l’Assemblée, je vais faire un coup d’État", a-t-elle listé.

"La classe politique donne d’elle-même une image de plus en plus grotesque", attaque-t-elle.

"Il m'en a parlé deux mois plus tôt": le père de Macron assure que la dissolution "n'est pas venue des européennes"

Le père du président vole à sa rescousse. Presque un mois après la dissolution surprise de l'Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron, Jean-Michel Macron, explique ce 3 juillet la décision de son fils dans une interview au quotidien régional l'Est républicain. "Sa décision de dissoudre n'est pas venue du résultat des élections européennes. Il m'en avait déjà parlé deux mois plus tôt", défend son père.

Notre article

Pour Attal, le pouvoir ira soit à l'extrême droite, soit "au Parlement" à l'issue des élections législatives

Gabriel Attal a estimé ce matin qu'à l'issue des élections législatives, le pouvoir sera "soit entre les mains d'un gouvernement d'extrême droite", soit "au Parlement", expliquant se "battre pour ce deuxième scénario", sans pour autant évoquer une "coalition".

"Aujourd'hui, il y a un bloc en situation d'avoir une majorité absolue à l'Assemblée nationale, c'est l'extrême droite. Ni LFI, ni le Nouveau Front populaire, ni nos candidats ne sont en capacité de former seuls une majorité absolue à l'Assemblée nationale", a reconnu le Premier ministre sur France Inter.

"À l'issue de ce deuxième tour, soit le pouvoir sera entre les mains d'un gouvernement d'extrême droite, soit le pouvoir sera au Parlement. Moi je me bats pour ce deuxième scénario" a expliqué Gabriel Attal.

LFI, PS, EELV, PCF... Qui pèse le plus à gauche après le premier tour des législatives?

La composition de l'Assemblée nationale sera métamorphosée au soir du dimanche 7 juillet. En effet, jamais le nombre de députés du Rassemblement national n'aura été aussi élevé. 38 candidats RN ont été élus dès le premier tour et pas moins de 297 de ses candidats et alliés arrivent en tête. Selon les projections de notre partenaire Elabe, ils pourraient rafler 255 à 295 sièges, de quoi obtenir une majorité absolue ou relative après ces élections législatives anticipées.

Selon les projections des sondeurs, l'union des gauches sous la bannière du Nouveau Front populaire sera la principale force d'opposition au Rassemblement national avec 136 à 185 sièges. Cela avant l'annonce des désistements des candidats du camp présidentiel.

Notre article

"Cela n'a pas de sens": Rousseau contre l'idée d'une grande coalition, au-delà du Nouveau Front populaire

"J'ai été élue sur un mandat et je respecterai les électrices et électeurs", promet l'écologiste Sandrine Rousseau sur France 2. Autrement dit, la députée de Paris, réélue dès le premier tour des législatives ce dimanche, n'est pas prête à former une grande coalition au-delà du Nouveau Front populaire, avec par exemple des macronistes, pour gouverner le pays. "Cela n'a pas de sens", selon elle.

Une position qui diffère de celle de Marine Tondelier. La secrétaire nationale des Écologistes a laissé la porte ouverte ce mardi sur TF1, déclarant notamment qu'il "faudra sûrement faire des choses que personne n'a jamais faites auparavant dans ce pays" en cas d'une Assemblée sans majorité claire.

"Dévier et encore aller vers une politique libérale (...) c'est d'une certaine manière trahir les électeurs", juge Sandrine Rousseau qui préfère prendre le risque d'un "gouvernement technique".

Éric Ciotti veut exclure Xavier Bertrand de LR

Le président contesté des Républicains depuis son alliance avec le RN, Éric Ciotti, a annoncé ce mercredi sur France 2 qu'il "va engager la procédure d'exclusion" du parti envers Xavier Bertrand. Il accuse un "petit cénacle" chez LR d'avoir "passé un accord occulte avec Emmanuel Macron".

La veille, Xavier Bertrand avait plaidé pour un "gouvernement de sursaut national". Sur RMC-BFMTV, le président de la région Hauts-de-France a répondu ce mercredi qu'"Éric Ciotti est au RN", en référence à l'alliance nouée par le député sortant des Alpes-Maritimes avec l'extrême droite pour les élections législatives.

Notre article

"Je suis bien placée pour comprendre le racisme dans notre pays": Aya Nakamura a appelle à voter contre "le seul extrême"

Aya Nakamura sort sa réserve. La chanteuse, qui ne commente jamais la situation politique, a publié ce mardi sur X un message sans équivoque pour manifestation son opposition à la montée du Rassemblement national lors des élections législatives.

"Je suis bien placée pour comprendre et savoir la place du racisme dans notre pays. C'est les mêmes qui ont le seum quand on brille car on n'a pas fini de briller", explique l'artiste franco-malienne.

Notre article

Xavier Bertrand pointe trois raisons qui poussent les électeurs à se tourner vers le RN, selon lui

Xavier Bertrand est président LR des Hauts-de-France, une région où le RN a le vent en poupe. Il distingue sur BFMTV-RMC trois raisons qui poussent les électeurs dans les bras de l'extrême droite.

"Une partie pense sincèrement que les solutions peuvent venir du Front national ou se dit, on ne l'a pas essayé, ça ne peut pas être pire", commence-t-il. "Le deuxième sujet, c'est la colère vis-à-vis du président de la République." Xavier Bertrand évoque ensuite "la peur de Jean-Luc Mélenchon".

"Pourquoi il la ramène encore?": Bertrand répond à Ciotti qui veut l'exclure de LR

Xavier Bertrand répond à Éric Ciotti qui dit ce matin vouloir "engager une procédure d'exclusion" contre lui en tant que président de LR, même si cette fonction lui est contesté en interne, les cadres du parti cherchant à l'exclure.

"Il est au RN Éric Ciotti, je crois que c'est clair pour tout le monde", répond le président LR des Hauts-de-France sur BFMTV-RMC en référence à l'alliance noué par le député sortant des Alpes-Maritimes avec l'extrême droite pour les élections législatives.

"On sait pourquoi il est parti au RN. Parce qu'il pensait avoir un poste de ministre. Voiture, gyrophares, c'est ça le rêve de sa vie. Alors de quoi il se mêle, pourquoi il la ramène encore?", tacle Xavier Bertrand, avant d'en remettre une couche:

"On le voit bien: il est en service commandé de Marine Le Pen pour essayer de créer le trouble."

Philippe euphémise sur sa relation avec Macron: "Je ne suis pas toujours d'accord avec lui"

Quelle est la relation entre Emmanuel Macron et Édouard Philippe, qui espère lui succéder à la présidence de la République en 2027? "Il n'y a jamais eu beaucoup de contacts pour tout vous dire", euphémise l'ancien Premier ministre sur TF1.

"Ni avant, ni après la dissolution", précise-t-il, alors qu'il a montré publiquement ses réserves sur cette décision.

TF1 lui demande si le chef de l'État l'a déçu. Pose figée du maire du Havre. "Euh pardon?", dit-il. La question lui est répétée. Édouard Philippe répond: "disons que je ne suis pas en accord avec lui. Voilà, c'est la vie. C'est pas grave. Et vous voulez que je vous dise, il n'est pas toujours en accord avec moi."

Philippe évoque une "initiative individuelle" d'Attal, après la suspension de la réforme de l'assurance-chômage

Que pense Édouard Philippe de la suspension de l'assurance-chômage, annoncée par Gabriel Attal? "J'ai constaté que Gabriel Attal avait formulé cette proposition. Il ne l'avait pas évoquée avec d'autres responsables de feu la majorité présidentielle", relève l'ancien Premier ministre sur TF1.

"Je ne voudrais pas qu'on ait des marchandages avant" le second tour des élections législatives, dit-il, alors que Gabriel Attal présente cette décision "dans l'esprit de futures majorités de projets et d'idées".

"Je pense que nous aurions dû après 2022 créer les conditions d'une coalition. Mais le faire avec des initiatives, qui sont, me semble-t-il, individuelles, qui n'ont pas été discutées avec d'autres membres de ce que pourrait être une coalition, c'est quand même engager curieusement les choses," déclare-t-il.

"Non-respect des exigeances démocratique": Philippe justifie sa ligne ni LFI, ni RN, pour le second tour

Au second tour, dans la 8e circonscription de la Seine-Maritime, Édouard Philippe votera pour son adversaire des dernières municipales au Havre: le communiste Jean-Paul Lecoq. L'édile et ancien Premier ministre entend ainsi faire barrage à l'extrême droite.

Il reste néanmoins sur sa ligne du ni LFI, ni RN, refusant d'appeler à voter pour des insoumis contre les candidats du parti à la flamme. Édouard Philippe parle d'un "non-respect des exigences démocratiques et républicaines" de LFI.

"J'ai vu dans les deux dernières années le parti de Jean-Luc Mélenchon devenir un parti qui s'accommodait de propos antisémites, j'ai vu un parti qui organisait le désordre à l'Assemblée nationale, la brutalité de la vie publique", liste-t-il sur TF1.

Plus d'informations ici.

Fin du dépôt des candidatures pour le second tour, plus de 210 désistements

Plus de 210 candidats qualifiés pour le second tour des élections législatives avaient annoncé leur désistement mardi à 18h, dernière limite pour acter leur maintien ou leur retrait, selon un décompte de l'AFP.

Majoritairement de gauche (127) ou du camp macroniste (81), ces candidats étaient pour la plupart arrivés troisièmes dans une circonscription où le Rassemblement national était en tête au premier tour. Les Républicains ont également enregistré trois retraits.

Au total, avec les 214 désistements recensés par l'AFP, seulement 110 triangulaires et quadrangulaires subsistent au second tour, sur les 311 prévues à la sortie des urnes.

Le mal-être au travail, un carburant du vote RN?

Traditionnellement associé à un vote contre l'immigration et au sentiment de déclin social, le vote RN a d'autres ressorts, dont celui de la perte de sens au travail et de l'absence d'interlocuteurs dans une organisation de plus en plus désincarnée.

Notre article

"Ils sont ambigus": le PS craint une alliance entre des candidats LR et le RN après les législatives

Des candidats Les Républicains s'apprêtent-ils à faire alliance avec l'extrême droite à l'issue des élections législatives pour constituer une majorité absolue? Des cadres du PS mettent en garde contre ce "risque", constatant que plusieurs impétrants du parti de droite ont refusé de se désister au profit de la gauche en cas de triangulaire et victoire potentielle du RN.

Notre article

Xavier Bertrand invité de BFMTV-RMC

Le président Les Républicains des Hauts-de-France est l'invité du Face-à-face d'Apolline de Malherbe ce mercredi à 8h30 sur BFMTV-RMC.

Élodie Babin, la "candidate fantôme" du RN dans le Loiret

Elle n'a pas dit un mot, mais a recueilli près de 19.000 voix ce dimanche. Candidate aux élections législatives pour le Rassemblement national, Élodie Babin est arrivée en tête du premier tour avec 32,91% des suffrages dans la deuxième circonscription du Loiret. Pourtant, cette femme n'a jamais pris la parole publiquement depuis le début de la campagne, explique France Bleu.

"Pas une seule réunion publique, pas de marché, pas d'affiche ni même de tract avec son visage", note le média local, qui souligne qu'Élodie Babin "n'habite pas" dans la circonscription dans laquelle elle se présente.

Notre article

François Hollande, Élisabeth Borne, Charles de Courson... Les 16 circonscriptions à suivre au second tour

Va-t-on assister à une défaite du député le plus expérimenté du Palais Bourbon? Un ancien président de la République reviendra-t-il à l'Assemblée nationale? Quid de l'avenir d'une ancienne Première ministre?

BFMTV.com a sélectionné 16 circonscriptions à suivre attentivement pour ce second tour des élections législatives.

Retrouvez-les ici

Ultime Conseil des ministres pour le gouvernement Attal à 10 heures

Emmanuel Macron réunit le Conseil des ministres à l'Élysée à 10 heures. Il sera comme chaque semaine suivi d'un compte-rendu de la porte-parole du gouvernement, Priscia Thévenot.

"Le front républicain s'est reformé": Hollande salue les nombreux désistements au second tour pour "faire barrage à l'extrême droite"

Alors que plus de 200 candidats se sont désistés avant le second tour des législatives, l'ancien président de la République s'est dit "fier d'avoir fait barrage à l'extrême droite et au Rassemblement national".

"Le front républicain s'est reformé, dans la douleur il faut bien le dire, notamment pour la majorité, mais dans la clarté pour la gauche", a affirmé François Hollande sur France 2.

"Face à BFM: un choix historique", notre émission spéciale avec Gabriel Attal, Jordan Bardella et Marine Tondelier

BFMTV organise aujourd'hui une soirée spéciale, dans l'entre-deux-tours des élections législatives: "Face à BFM: un choix historique".

Devant l’impossibilité de monter un débat entre les représentants majeurs des trois blocs en présence pour le second tour des législatives, la chaine proposera une soirée spéciale. Se succéderont à l'antenne à partir de 20h30 et pour une heure chacun, dans un ordre qui reste à définir: Gabriel Attal, Jordan Bardella et Marine Tondelier.

L'émission sera présentée par Maxime Switek avec Apolline de Malherbe, Nicolas Doze et Benjamin Duhamel.

Jordan Bardella affirme que le RN aura "une majorité absolue" à l'Assemblée nationale

Dans les colonnes du Figaro, Jordan Bardella affirme que le Rassemblement national aura "une majorité absolue" à l'Assemblée nationale après le second tour des législatives.

"La politique est une affaire de vagues, et celle qui nous porte est puissante. Il faut conjurer le spectre d’une majorité relative parce qu’on ne peut pas prendre le risque d’arrêter la France pendant trois ans, alors que le monde continue d’avancer", a-t-il poursuivi.

Le leader du RN a également assuré que son parti représentait "le vrai front républicain".

Une candidate RN en Mayenne a été condamnée pour "séquestration avec arme"

Annie Bell, septuagénaire qui se présente pour le Rassemblement national en Mayenne, s'est qualifiée pour le second tour des législatives. Cette dernière avait été condamnée à de la prison ferme en 1995 pour une prise d'otage à main armée dans une mairie du département, a révélé hier la presse locale.

Après le revirement du RN-LR Gilles Bourdouleix, qui se présentera au second tour, France Moreau, candidate du NFP, retirera ses bulletins

France Moreau, candidate du Nouveau Front populaire dans la cinquième circonscription du Maine-et-Loire, a annoncé qu’elle retirera ses bulletins de vote et ses professions de foi pour le second tour. Une décision prise après le maintien à la dernière minute de la candidature du candidat RN-LR Gilles Bourdouleix dans la circonscription, qui avait annoncé hier à Ouest-France qu’il se retirait.

Son annonce était en réalité une stratégie mensongère afin que la candidate de gauche maintienne sa candidature et qu’une triangulaire survienne au second tour, avec donc contre le candidat RN-LR celui du candidat du camp présidentiel et celle du NFP.

France Moreau retire ses bulletins et appelle "à ne donner aucune voix au RN et à son candidat". Dans les faits, Gilles Bourdouleix sera donc opposé à Denis Masséglia, candidat investi par la coalition présidentielle

Dupond-Moretti dénonce les propos d'un candidat RN qui juge que "les Maghrébins n'ont pas leur place dans les hauts lieux"

"Honte à ceux qui ont banalisé l'extrême droite." À cinq jours du second tour des élection législatives anticipées, Éric Dupond-Moretti a dénoncé sur son compte X les propos tenus par le candidat du Rassemblement national dans la 1ère circonscription de l'Yonne.

Le député sortant Daniel Grenon -arrivé en tête avec 40,4% des voix devant Florence Loury, candidate du Nouveau Front populaire, qui a rassemblé 25,34% des suffrages- s'est exprimé, lors d'une interview croisée publiée ce mardi matin par l'Yonne républicaine, sur la volonté du parti d'extrême droite d'"empêcher" les binationaux d'occuper "des emplois extrêmement sensibles".

La campagne dans sa ligne droite finale

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil. Après le dépôt des candidatures mardi et le feuilleton des désistements face au Rassemblement national, il reste trois jours avant la clôture de la campagne officielle pour le second tour des législatives, tandis qu'Emmanuel Macron réunit le Conseil des ministres à l'Élysée.

Il y avait plus de 4.000 candidats avant le premier tour. Ils seront encore un peu plus de 1.100 dimanche. Ils avaient jusqu'à mardi 18h00 pour déposer leur candidature en préfecture pour tenter de rejoindre les 76 députés élus dès dimanche dernier.

BFMTV